Sur le bureau de l’inspecteur Carl Mørck, chef du département V, le dossier d'un double meurtre commis en 1987 et impliquant une bande de fils de famille, innocentée par les aveux « spontanés » d’un des leurs. Mørck s'aperçoit que l'affaire a été hâtivement bouclée et décide de reprendre l’enquête. Cercles fermés des milieux d'affaires, corruption au plus haut niveau, secrets nauséabonds de la grande bourgeoisie... Adler-Olsen mêle suspense implacable et regard acerbe sur son pays. Après Miséricorde,Profanation ne décevra pas les fans du cynique Carl Mørck et de son assistant syrien, l’imprévisible Assad.
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Vue comme ça, cette bande de Pieds Nickelés a de quoi faire doucement sourire, mais malgré leur apparence pitoyable le trio va résoudre une enquête mal élucidée d'il y a vingt ans, impliquant des psychopathes ultraviolents nourris à Orange Mécanique, très bien insérés dans la haute société, qui ont pactisé dans la violence gratuite depuis leurs tendre jeunesse. Des richissimes protégés par des gens bien placés dans la police et dans la justice.
L'histoire a du mal à démarrer, j'ai repris le début du roman trois fois avant de comprendre ce qui se passait, mais c'est sans doute moi qui suis lent de la comprenette. Après, une fois le quart du livre entamé, c'est glauque, écœurant, plein de sang, de haine sans objet et de viols, stressant à la fin. Le chef du Département V est un bon. J'ai commencé par hasard par le deuxième opus de cette série, mais je m'empresserai de tenter le premier.
La page 77
Dorénavant vous pourrez voir la page 7 ou la page 77 du livre ou de la BD que je chronique (selon mon humeur et le nombre total de pages). Pourquoi 7 ou 77 ? Parce que.Profanation, par Jussi Adler-Olsen. Le Livre de poche.
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